Magalie m’a piégée avec le BDSM

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il y a 7 ans

Magalie est une amie de très longue date. depuis des années, elle fait du BDSM avec son mari. Il gagne super bien sa vie, ils ont même un donjon dans leur immense villa de rêve avec piscine, sauna et un jardin de folie. Lorsque je vais en vacances dans le sud, je fais toujours un crochet par Nice, cela me donne l’occasion de la revoir. L’été dernier, nous étions en pleine confidences de filles après nous être baignées nues dans leur piscine. je lui parlais de mes aventures coquines, elle me parlait de son BDSM, des sensations grisantes qu’elle éprouve quand son chéri la martyrise.

J’étais en train de fignoler mon maillot à la pince à épiler quand elle me parla des sensations du bondage, que l’on se sent libre de s’abandonner et que c’est très agréable. Magali m’a proposée de me faire essayer, je n’étais pas très chaude à l’idée d’être attachée. Elle m’a proposée un jeu débile avec des cordes et des menottes en me disant que je pourrai toujours essayer d’aller plus loin toute seule chez moi. Je ne comprenais pas vraiment l’intérêt de s’attacher seule mais elle a insisté et j’ai fini par céder, pour ne pas mourir idiote, d’après elle. Deux minutes plus tard, elle revenait de leur donjon avec des barres, des cordes, des menottes et des bâillons.

Magalie a commencé par bloquer ses jambes écartées avec une barre en me disant de faire la même chose qu’elle. Elle était d’humeur très joyeuse et pleine de délire en me disant des trucs très cochons du style : « imagine que tu es attachée à la disposition de ton amant qui va te défoncer la choune, que..... » Ensuite, elle m’a fait voir comment se faire un bondage de poitrine pour bien faire ressortir les seins. Comme pour la barre des pieds, je devais faire les gestes en même temps qu’elle. Et là, elle a commencé à partir dans de graves délires avec un bâillon qui représente un sexe. Elle le léchait comme une salope en manque avant de me donner un bâillon boule qui se serre derrière la tête avec une sorte de harnais. Pour lui faire plaisir, je me suis donc bâillonnée. Elle a jeté les clés des cadenas et des menottes dans le salon puis m’a fait comprendre que l’on devait passer les mains dans le dos et se menotter.

Comme j’avais peur, elle a retiré son bâillon pour m’expliquer que nous libérer serait ultra facile. Elle a encore lécher le phallus en faisant des « hum » avant de se le remettre. Quand elle m’a tendue mes menottes, j’étais tellement amusée par ses simagrées que je ne me suis pas méfiée. J’ai donc fait comme elle, j’ai mis mes mains dans le dos et j’ai fermé les menottes en galérant un peu. Cette salope s’est mise à genoux puis a commencé à venir se frotter contre moi. Dans nos délires, à un moment nous étions à genoux face à face et nous nous boxions à coup de poitrine. J’étais pliée de rire, ce jeu débile m’amusait.

Elle m’a abandonnée un instant pour aller chercher les clés à genoux. La voir se casser quasiment la figure pour attraper les clés m’a faite pouffer de rire. Moins d’une minute plus tard, elle avait retiré ses menottes et libérait ses chevilles. C’est quand elle a entrepris de libérer sa poitrine bondagée, que j’ai vu son regard briller. Magalie s’est levée puis m’a abandonnée en partant avec les clés. Je n’étais pas inquiète du tout, elle est très farceuse et toujours pleine de délire. Lorsqu’elle est revenue avec des sextoys dans les mains, j’ai commencé à me poser des questions. Elle n’allait quand même pas se masturber devant moi avant de me libérer !

Ses idées étaient toutes autres ! Quand elle s’est penchée sur moi avec une barre et de gros bracelet en attrapant mes cuisses j’ai immédiatement compris son piège. Malgré mes ruades de désespérée, elle a réussi à la poser sur mes jambes au niveau des genoux, m’interdisant ainsi de serrer les cuises. Sous mes yeux et sans aucune gêne, elle a allumé un vibromasseur en forme de micro (je sais maintenant que c’est un magic wand massager) puis se le passait sur les seins avant de le faire descendre doucement sur son intimité à peine protégée par un string minimaliste. Ses yeux brillaient du feu du désir, elle était belle et rayonnait dans son exhibition coquine. Soudain, elle s’est approchée de moi et m’a fait la même chose. Sur les seins bondagées, les sensations étaient très fortes, j’essayais d’y échapper par principe car j’étais un peu gênée et faisait « non » de la tête. Et là, au lieu de s’arrêter, elle m’a plaquée sur le sol puis l’a plongé entre mes cuisses en s’attaquant à mon chaton. J’avais beau essayer de me débattre, les deux barres écartant mes jambes et mes cuisses lui laissaient le champ libre.

Même si j’étais très gênée, son machin vibrant de folie a commencé à me faire des choses. En me disant que je mouillais tellement que mon string en était trempé, Magalie me mettait face à une réalité. Au delà de ma gêne et de ma pudeur, mon plaisir était au rendez-vous. Quand en même temps qu’elle vibrait ma choune elle s’est mise à grignoter mes tétons, j’ai su qu’elle allait m’avoir, les tétons étant chez moi un déclencheur de plaisir. J’ai arrêté de lutter, le plaisir montait et je ne pouvais rien faire pour échapper à son piège. Cette salope allait me faire jouir. Trois minutes plus tard je me tordais dans tous les sens en criant comme une perdue dans mon bâillon.

Lorsque j’ai ré ouvert les yeux, Magalie était couchée contre moi et caressait mon visage avec douceur. Avec beaucoup de douceur elle m’a retiré le harnais maintenant le bâillon puis les cordes du bondage de poitrine avant de me prendre dans ses bras pour un gros câlin. Je l’ai traitée de salope sans haine ni colère, je ne lui en voulais pas, ce n’était pas la première fois qu’elle me faisait des pièges, ils s’étaient toujours bien terminés mais n’étaient jamais allés aussi loin question intimité. Elle m’a demandée si elle pouvait me faire découvrir encore un truc, j’ai voulu savoir quoi, elle n’a pas voulu me le dire. Comme je ne refusais pas, elle m’a à nouveau étendue sur le sol puis s’est jetée couchée entre mes jambes pour me dévorer le chaton. J’avais beau lui dire « non », elle ne m’écoutait pas. Sa seule réponse a été : « j’en ai envie depuis trop longtemps ». Experte en la matière, cette garce m’a rapidement faite grimper en titillant mes tétons et en lutinant à merveille mon clito. J’étais tellement bien, que je n’ai même pas « imprimée » qu’elle fourrait ses doigts dans mon chaton.

Au bout d’un moment, je m’en suis rendu compte mais le plaisir était tel que je n’ai plus rien refusé, sa langue magique étant un « anti réfutation ». En même temps que sa bouche de gloutonne, je sentais mon chaton s’ouvrir à ses doigts. C’était divin, je me sentais « pleine » de plaisir. A un moment j’ai eu un peu mal puis c’est redevenu très, très, très bon, sa langue se déchaînait, sa main aussi. Quand j’ai explosé façon puzzle dans ma tête et mon corps, j’ai cru perdre connaissance tellement c’était fort. J’étais comme un légume, étendue sur le sol et vidée de toute énergie. Et là, Magalie m’a demandée si je voulais bien lui rendre sa main. Pour me permettre de comprendre, elle m’a aidée à relever la tête, je ne voyais plus que son poignet, elle venait de me fister. Cela ne m’était jamais arrivée. Elle l’a retirée sans problème sans me faire mal, c’était juste un soupçon désagréable après la jouissance démentielle qu’elle venait de me faire vivre.

Jugeant qu’il était temps de libérer sa prisonnière, Magalie a libéré mes jambes puis, en bonne garce qu’elle est, m’a confiée les clés de menottes en me disant qu’elle allait nous chercher à boire. Je galérais encore quand elle est revenue avec du coca frais, elle était pliée de rire quand elle m’a dit : « si dans deux minutes tu n’es pas libre, je recommence tout ».

Cette expérience m’a perturbée car effectivement, avec ses jeux BDSM j’avais joui bien plus fort que d’habitude.

Alain est arrivé vers 19 heures, il était ravi de me revoir, et moi aussi, car il est génial. Quand il nous a demandé ce que nous avons fait de notre journée, Magalie lui a parlé de la piscine et que nous avions câliné un peu mais a occulté son piège de selfbondage. Les sachant très joueurs, je lui ai indiqué qu’elle ne lui disait pas tout. Sa soumise a du lui dévoiler les « méchancetés » qu’elle m’avait faites en position 6, la position dite de O. D’humeur très joyeuse et joueur comme toujours, il a déclaré que je devais être vengée et qu’elle méritait une punition pour l’abominable piège qu’elle m’avait tendu, et en rigolant, qu’il regrettait de ne pas y avoir assisté. Il lui a ordonné de se mettre nue et d’aller au donjon avant de m’inviter à les suivre. Je ne voulais pas les gêner et j’ai refusé, il a insisté en m’expliquant que ma présence ne les dérangerait pas du tout.

Je me suis faite toute petite comme une souris pendant qu’il l’attachait bras et jambes en croix à des anneaux fixés dans le sol et au plafond. Et là, il m’a tendu un martinet en me disant de me venger. J’ai refusé en lui disant que je ne me voyais pas lui faire du mal, que ce n’était pas mon truc. Il m’a expliquée que ce n’est faire du mal, que c’est un plaisir différent, que je ne devais pas tout confondre. Après lui avoir donné des coups de martinet de partout, y compris sur les seins et le sexe, (j’avais mal pour elle) il est venu attraper ma main pour me guider jusqu’à l’entrejambe de Magalie afin que je touche son intimité. Si j’étais très gênée de la toucher, j’ai effectivement constaté qu’elle était trempée. La garce, en plus elle est maso !

  • Tu vas m’aider à l’achever ! M’a indiquée Alain en me tendant un Melrose, tout en m’expliquant comment je devais bien l’ajuster pour qu’il aspire bien son clitoris. Il a rajouté que si elle se mettait à crier et même à hurler, il ne fallait surtout pas que je m’affole et qu’elle avait des jouissances très bruyantes. Je ne devais donc pas m’arrêter même si elle se débattait dans ses liens en criant des « non » ou des « stop ».

L’idée de me « venger » un peu m’amusait beaucoup malgré le fait que je n’avais encore jamais vraiment touchée une fille. J’ai fait un gros bisous sur la bouche de Magalie qui me l’a rendu de bon coeur, avant de m’asseoir entre ses jambes. Alain a fait claquer un fouet et faite bondir de peur. Il m’a ordonnée de m’occuper de sa chatte pendant qu’il s’occuperait de son cul. J’ai donc pour la première fois fouillé le sexe d’une femme pour faire ressortir son clitoris et poser le Melrose sur son bouton des plaisirs.

Magalie a immédiatement commencé à bouger dans ses entraves avant même qu’il la fouette. Je voyais les muscles de ses cuisses écartées se tendre, ses hanches bougeaient comme pour le fuir, c’était très amusant. Le fouet a commencé à claquer sur ses fesses, elle bondissait à chaque coup en se tordant comme si elle avait mal, mais aussi comme quand j’aspirais son clitoris avec le sextoys vibrant. Elle s’est rapidement mise à pousser des « ah » puis à respirer de plus en plus vite. J’étais impressionnée ! Je m’acharnais aussi à bien suivre son corps avec le Melrose car elle bougeait beaucoup.

Quand elle s’est mise à hurler et à crier « stop » j’ai cru qu’elle disait « stop » pour les coups de fouet et j’ai continué à m’acharner sur son clitoris. Les « stop » sont devenus des « arrête je t’en supplie » avant de redevenir des « ah ». Au bout d’un moment Magalie s’est mise à convulser, Alain est venu m’arrêter en m’expliquant que cela devenait trop fort pour Magalie. Il m’a dit de passer ma main entre ses jambes, je l’ai fait pour voir, elle a fait un bond comme si je l’avais électrocutée ! ! !

Alain a étendu une couverture sur le parquet du donjon avant de la libérer et de la couvrir. Elle s’est avachie dessus en continuant de convulser de temps en temps. Devant mon visage inquiet, il m’a rassurée en m’expliquant qu’elle continuait d’avoir des contractions de jouissance, que je ne devais pas m’inquiéter, qu’elle allait bien.

Après s’être remise, Magalie s’est vêtue d’une robe la mettant très en valeur et ne cachant rien ou presque de ses formes et de son intimité. Nous avons pris l’apéro et dîné en toute amitié en abordant de multiples sujets et le BDSM que je découvrais un peu plus. En fin de soirée, Magalie est aller chercher le Melrose au donjon. Elle m’a indiquée l’avoir désinfecté et qu’elle me le prêtait pour la nuit. J’ai accepté malgré la gêne, il n’est pas dans mes habitudes d’informer des gens de mes plaisirs solitaires mais je ne voulais pas les vexer. Lorsque nous sommes aller nous coucher, Magalie m’a souhaitée bonne nuit en me faisant un clin d’oeil très coquin plein de sous-entendus.

Je ne pensais pas me servir de leur Melrose, je l’ai posé sur la table de nuit avant de me coucher et d’éteindre la lumière. Repenser à toutes les aventures de cette journée particulière a éveillé des choses en moi. La coquine curiosité m’a incitée à au moins essayer leur nouveau sextoys. Ce fut magique, divin, extraordinaire mais presque trop rapide. J’ai jouis en moins de deux minutes. Presque déçue que cela ait été aussi rapide, j’ai remis le couvert dix minutes plus tard en entendant un lit butter régulièrement contre un mur. Cette fois, je suis arrivée à contrôler le jouet et à faire durer le plaisir. Il parait que j’ai été bruyante.... Ce qui est sûr, c’est que je vais m’acheter un Melrose dès que je rentre chez moi.

Magalie et Alain m’ont invitée pour les fêtes de fin d’année et promis une initiation BDSM en douceur si j’acceptais. J’ai très peur de céder à la tentation !

Ecrivaillon

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joli récit, tout en douceur ...
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